une petite histoire très très cochonnes d'un de nos plus fidèle...; hummmmm

je ne la considere plus de la meme maniere ...

0895.69.69.10

- Anthony ce weekend ton père et moi sortons chez des amis, tu vas aller dormir
chez Claudie, je l’ai appelée elle t’attend après ton match samedi soir et est ravie
de garder son petit filleul !
- Maman j’ai bientôt dix huit ans je peux me garder seul !
- Je sais mais c’est pour éviter que tes copains viennent faire la fête, je ne
veux pas retrouver ma maison en ruine a notre retour !
- Ok maman ça va ……
Claudie c’est ma marraine, je l’adore c’est un peu ma deuxième mère, ils sont copains
depuis toujours, depuis tout petit je l’appelle ‘ tatie Claudie ‘, elle vit seule
depuis trois ans après l’a v c fatal de Bernard son mari, c’est une très belle femme
qui est hôtesse d’accueil malgré qu’elle soit prés de la retraite c’est pour dire la
fraicheur qu’elle a encore !
Samedi j’ai un match de rugby, je n’ai pas de copine je me consacre entièrement au
sport, j’irais donc directement chez marraine qui habite a deux pâtés de maison de
chez nous
Lorsque je passe le seuil je découvre Claudie vêtue d’une robe a bretelles très
décolletée qui laisse a penser une absence de soutien gorge, fendue très haut sur une
cuisse, elle se jette sur moi pour me serrer dans ses bras à m’étouffer et m’embrasser
sur les joues, son quatre vingt dix B s’écrase sur mon torse
- Mon petit chéri ! tu as vus je me suis faite belle exprès pour toi, je vais te
coucouner
- Tatie Claudie lâche moi j’étouffe !
- Tu ne disais pas ça quand je changeais tes couches, ingrat ! et puis ne
m’appelle pas tatie, Claudie tout simplement, tu sais ce soir nous fêtons un grand
événement, j’ai appris la date de mon départ en retraite
- Je suis heureux pour toi, ça ne te fais rien de quitter la vie active ?
- Ce n’est pas trop tôt ! ce soir je me fais servir tu es l’homme de la maison,
j’aimerais un martini- gin, toi aussi ? à ton âge ça ne doit pas être le premier apéro
que tu prends ? Surtout faisant partie du club de rugby !
- Ça va je tiens le coup mais toi tu n’as pas l’habitude ?
- Boff si je suis saoule j’irais me coucher !
Claudie parle beaucoup après le deuxième verre elle bute sur les mots, ses yeux
lancent des étincelles, il est temps de passer a table, au dessert elle tient des
propose étrange, sa jeunesse surgit de sa mémoire, ce n’est plus moi qu’elle voit en
face d’elle, mais qui d’autre ????
- Avec tes parents nous étions très liés, nous sortions toujours tous les quatre
ensembles …. Je vais te faire un aveu que tu dois garder religieusement pour toi
- Un secret de famille ? houa j’adore !
- Ne te moque pas, et ne m’interromps pas, un soir a la maison en rentrant de
boite bien gais, nous avons dansés, d’abord avec nos conjoints respectifs et puis nous
avons changés de partenaire …..ton père est devenu entreprenant, je sentais son
érection sur mon ventre, ses mains caressaient en douce mes seins mes fesses avant de
passer carrément sous ma jupe, j’étais folle d’angoisse, nous avions beau êtres amis
si jamais Bernard s’en aperçois quelle va être sa réaction … je jette un coup d’œil
par-dessus l’épaule de ton père, stupeur ! ils ne dansaient plus, Bernard embrassait
ta mère à pleine bouche, sa main avait disparu sous la robe relevée je voyais les
cuisses de Dominique ouvertes, offerte, consentante, alors nous avons fait de même
pour nous retrouver une demie heure plus tard tous les quatre nus sur le même lit ton
père me faisait l’amour divinement, entre parenthèse c’était un très bon amant
- C’est vrais tout ça ?????
- C’est bien vrai …. Nos hommes nous ont avoués avoir tout combiné, nous avons
récidivé en moyenne une fois par mois, cela a duré deux ans jusqu’au jour ou Dominique
ta mère est tombée enceinte, là c’était la panique, tu imagine ? qui t’avais conçu
???!!!!
- Tu veux dire que je pourrais être le fils de Bernard ?? ….
- Rassure toi tu es le portrait craché de ton père et puis un détail le prouve,
vous avez le même grain de beauté
- Grain de beauté ?? j’en ai pas !!!
- Que si tu en as un !!!
- Ha oui c’est vrai …mais ….
- Il est situé sur la verge, la peau qui recouvre le gland à une petite tache
brune qui se reproduit exactement au même endroit sur le gland, je me trompe ?
- Non, tu as raison ! quelle histoire !
Mine de rien en imaginant Claudie les cuisses écartées se faire mettre par mon père ça
m’a filé la gaule !
- Anthony, j’aimerais te demander une chose
- Quoi donc Claudie ?
- J’aimerais danser le tango comme a la belle époque
- Je ne sais pas danser çà !
- Oh c’n’est pas bien compliqué je vais te guider
- Alors juste une danse OK ?
- D’accord mon petit chéri ! … prend ma main dans la tienne, tends le bras,
l’autre autour de ma taille … voilà suit mes pas au son de la musique
- Oui c’est facile et ça rapproche ! tu sens bon Claudie, ton parfum naturel de
femme m’enivre
- Hé ne va pas me draguer ! en tout cas ça me rappelle des souvenirs …..
Je perds le contrôle de moi-même Claudie est si envoutante, je comprends mon père,
avoir cette créature dans les bras ne laisse pas indifférent ….je bande dur…… j’attire
imperceptiblement la femme qui se laisse aller sur moi, ses seins se soulèvent au
rythme de sa respiration qui devient saccadée, je colle ma joue sur la sienne, je
lâche sa main pour l’enserrer carrément par la taille…
- Ton père faisait exactement la même chose …..mon dieu je reviens trente cinq
ans en arrière, que m’arrive t il ?
- Ferme les yeux Claudie je vais raviver tes souvenirs …..
- Tu es fou Anthony il ne faut pas faire ça ….
- Embrasse-moi ……
- NON ! MUUUUMMMM HUUUUUMMMMMM
Ma langue tournoie dans sa bouche, mes mains s’égarent sur sa poitrine, sur ses
fesses, elle se colle et se frotte sur mon érection, Le zip de sa robe glisse très
bien …. Les bretelles aussi sur les épaules, Claudie baisse les bras pour dégager sa
poitrine lourde et opulente aux tétons raidis, lentement au gré de nos mouvements le
léger vêtement glisse au sol, Claudie n’a plus sur elle qu’un string trempé que mes
doigts dégagent habillement sur le coté
- Petit salaud tu t’y prends bien …. Aaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhhh ouuuuuuiiiiii
enfonce …….
Mes doigts jouent dans son vagin qui clapote, elle plie les genoux ouverts pour
m’offrir son berlingot, elle mélange mon prénom et celui de mon père, Claudie en
transe revis ses amours de jeunesse
- Allons dans ta chambre…
- Anthony tu n’a que dix huit ans, j’en ai soixante ….
- Et alors ? tu va voir si je ne suis capable de faire comme mon père ……
- Mon dieu je suis folle, mais j’ai tellement envie de jouir, enlève tes
vêtements Anthony …….la même queue que lui, peut être même plus grosse ….. fais-moi
voir ton bout ?…. Ooooooohhhhh exactement la même tache ! ça alors
- Retrousse la peau …..
- Dessous aussi ! Huuuuuuummmmmmm je vais te manger la verge
- Woooouuuuuaaaaaah !!!! suce-moi vicieuse ! tourne un peu je vais te lécher la
mouniche en même temps
- Mmooouuuuuaaaaah, tu sais avec ta mère on se mangeait la chatte mutuellement
!! Rrrrruuuuummmmmmm qu’elle est bonne cette bite !
Je lape les lèvres qui dégoulinent de mouille odorantes avant de les écarter, son
intérieur nacré est obstrué de fils de cyprine, le clitoris écarlate émerge de sa
gaine, son anus boursoufflé palpite comme une bouche affamée, je suis barbouillé de
liquide gluant jusqu’aux yeux, sa bouche experte a vite raison de moi, je me lâche a
longs jets au fond de sa gorge, pas un goutte ne tombe sur le drap
- ANTHONY !!!!!! JE JOUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIS
OUUUUUUUUUUUUUIIIIIIIIIIIIIIIIII !!!!!! oh excuse moi je ne me contrôle plus je vais
hurler de bonheur!
- Lâche toi il n’y a pas de voisins !
- C’est vrai ! vient sur moi chéri ? regarde comme je suis encore souple !!
Bien sûr il y a un léger bourrelet sur le ventre, les cuisses relevées deviennent
flasques mais la position et la vue appellent à la saillie, les miches baillent, son
anus s’ouvre a intervalles réguliers, l’intérieur de ses cuisses est maculé de
mouille, je suis tellement excité que je l’embroche sans tergiverser jusqu’aux
testicules, Claudie hurle sous le coup de la surprise, mais elle se ressaisie en me
ceinturant, prisonnier de cette mante religieuse qui ne demande qu’a être pilonnée je
la défonce comme un damné
- Baise-moi, enfonce ton poignard de chair dans mon ventre, je veux jouir a en
perdre connaissance !
- je tire mon coup dans ta chatte ensuite je te la mets au petit trou
- Hoooooooohhhhhhh OOOOOOOOuuuuuuuiiiiiiiii !!!!!!!!!!! toi aussi tu sais parler
aux femmes !
…………….Depuis nous nous voyons en cachette de mes parents